Atelier d'échanges public-privé du 18 avril 2019 : Qualité de vie au travail : pourquoi investir dans l’action sociale ?
La matinée d’échanges de l’atelier public/privé qui s’est déroulé le 18 avril dernier à la DGAFP était consacrée au thème : « Qualité de vie au travail : pourquoi investir dans l’action sociale ? ».
Apparition de nouveaux métiers tels que chief happiness officer, élaboration de baromètres QVT, création d’observatoires QVT...
Ces nouvelles pratiques au sein des structures publiques comme privées soulignent l’intérêt des organisations quant aux enjeux de qualité de vie au travail de leurs collaborateurs. En effet, face à des contextes professionnels marqués par les réorganisations, les transformations numériques et des processus de travail toujours plus complexes, les organisations investissent avec un certain pragmatisme dans une démarche QVT qui, outre un engagement renforcé des collaborateurs, permet de réaliser des économies.
Par ailleurs, avec l’apparition de nouvelles formes de travail et le développement du télétravail, la séparation entre vie professionnelle et vie personnelle tend à s’estomper. Or, pour les jeunes générations, l’équilibre entre les temps de vie constitue précisément un critère dans le choix de leur futur employeur.
Dans cette perspective, il s’agissait notamment de s’interroger sur une meilleure articulation entre la démarche QVT, qui vise à garantir le bien-être au travail des agents, et l’action sociale, destinée à améliorer les conditions de vie des collaborateurs et de leurs familles. Comment intégrer l’action sociale comme levier d’une démarche QVT ? Comment faire de l’action sociale un critère d’attractivité ?
Cet atelier a notamment permis à plus de 40 professionnels de la RH et managers de proximité issus des 3 versants de la fonction publique de s’interroger et de réfléchir à la façon de faire de l’action sociale un levier de la démarche QVT et d’en faire un véritable d’attractivité pour recruter dans la fonction publique.